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G-force's Track

7 août 2011

L'aventure du quotidien

MielpopsC'est fou de constater que le quotidien, dans sa banalité, est susceptible de nous faire vivre de véritables aventures. Il y a 5 minutes, je mangeais des Miel Pops © tranquille devant mon ordinateur quand soudain, une de ces céréales m'échappe. Contrairement à l'habitude d'avoir un réflexe brutal pour la récupérer et de risquer de la projeter au loin sans le faire exprès, je décide de la laisser faire son parcours pour attendre qu'elle atteigne le sol : elle commence alors par tomber le long de mon t-shirt pour ensuite rouler sur mon pantalon. Un pli de ce dernier la fait dévier vers la tour de l'ordinateur sur laquelle mon genou repose, la céréale y bascule et continue sa lente course pour ensuite chuter sur deux câbles qui forment une sorte de rail sur lequel mon Miel Pops fugitif s'engage. Pour finir, je le regarde en toute impuissance partir dans les méandres de fils électriques derrière le bureau, soit l'endroit le plus inaccessible de tout mon appartement. La vie est franchement cruelle...

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26 juillet 2011

Swiffer

ordi-casséOulà, c'est presque à l'abandon ici ! C'est le moment de dépoussiérer ce blog car j'avoue que j'ai eu très peu de temps libre ces derniers temps pour me lancer dans la rédaction d'articles. Les choses ont pas mal avancer depuis la dernière fois. L'école est finie, j'ai trouvé mon stage pour valider cette année et nous sommes en été (d'après le calendrier, la météo c'est plus trop fiable pour deviner dans quelle saison nous sommes...). D'ailleurs, c'est un drôle de sentiment de ne plus travailler à Disneyland Paris cet été. Toutes les vacances récentes depuis deux ans, je les ai passé à travailler là-bas, l'ambiance y est très bonne en général alors ça me manque un peu. Deuxième ombre au tableau, je n'ai pas de voyage programmé cette année, c'était vraiment la cerise sur le gâteau l'année dernière ! Mais faut avoir le budget pour, et cette année c'est plutôt économie pour préparer le suivant (ou dépenses incensées dans un projet fou, au choix).

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Fini le travail ingrât de tester les attractions avant tout le monde par exemple...

Revenons-en à l'essentiel : le stage. C'est la première fois que je touche sérieusement au domaine de la communication et c'est vraiment là où je souhaite m'orienter ! Ces premières semaines m'en ont convaincu, donc c'est déjà une bonne chose de savoir où je vais. Ce stage, je le passe dans le nord, dans la "chouette" ville de Liévin qui a pour avantage d'être proche de ma maison familiale, et comme j'ai la voiture sur place, faut avouer que c'est pratique. Certes, y'a les amis sur place, anciens du lycée ou pas, mais côté activités, c'est souvent la même chose. De toute manière, je reviens régulièrement sur Paris, il y a toujours quelque chose à faire en cette saison (quand il ne fait pas trop dégueulasse dehors).

laboite

Bref ! Ce stage, disais-je, je le fais dans une entreprise de communication évènementielle qui se nomme La Boîte de Scène (le bon jeu de mots, ça commence bien pour moi ça !). C'est une petite structure qui en a tout d'une grande, j'ai été impressionné par le nombre de sites qui font appel à nos services, du pâtelain au fin-fond de la campagne jusqu'aux artistes venant se produire dans la région. Je suis dans une équipe fort agréable et j'ai déjà pu tâter le terrain au cours d'un évènement assez folklorique, mais faut toucher à tout ! Je ne vais certainement pas m'en plaindre, surtout que toutes les idées sont le bienvenue, de quoi satisfaire ma soif de créativité, c'est le moment de la mettre en oeuvre et ça me plaît ! Reste à trouver l'entreprise pour la rentrée dans laquelle je ferai ma première année d'alternance, ça promet de changer radicalement des semaines surchargées de cours, en apprenant mieux que dans n'importe quelle salle de classe : sur le terrain !

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Je vous présente Gribouille au sommet de son art...

Toutefois, ça fait du bien de retrouver le calme relatif de la maison familiale. Le chat est content de me voir, surtout pour me réveiller en plein milieu d'un rêve car il me prend pour son garde-manger (mais il est affectueux quand même hein, bien que ce soit un estomac sur pattes). Il y a aussi le beau piano qui a plus de gueule que le synthé que j'ai à l'appartement qui est là histoire que je ne perde pas la main. Et sur ce piano là, c'est un bonheur de jouer, voire de composer des petites mélodies (mais ça, j'en parlerai plus tard icon_wink(et j'emmerde ceux qui disent "Si tu réécris un article dans moins d'une décennie!")). Puis j'en profite pour squatter la PS3 de ma soeur pour jouer à Portal 2 (vraiment excellent au passage) car la carte graphique de mon PC qui se fait vieux est juste sous le seuil d'acceptabilité du jeu... Quelle poisse. Encore un investissement à prévoir, argh ! J'y pense, vous devez vous demander comment je peux avoir tant de temps libre avec ce stage ? Eh bien, c'est parce que j'ai trouvé le meilleur stage qui soit. Non seulement il est adapté à ce que je veux faire plus tard, mais en plus il comporte une coupure de trois semaines de vacances ! Si ça c'est pas le pied ! Je vais pouvoir en prendre un peu justement, des vacances...

24 mai 2011

Souvenir scolaire

L'école, ce lieu déprimant dans lequel vous vous sentez comme prisonnier et obligé de vous activer les méninges, c'est aussi un endroit dans lequel il m'est arrivé le plus souvent d'avoir droit à de bonnes tranches de rire, surtout lorsque vous êtes sous l'autorité d'un prof ou d'un surveillant, c'est dans cette situation que le rire est le plus jouissif ! Toutefois, au lycée, il était rare d'avoir l'occasion d'avoir des projets créatifs. Et quand il y en avait, la motivation se voyait clairement (enfin, en ce qui me concerne et les quelques personnes qui avaient envie de se démarquer qualitativement). Les neurones étaient sollicités à leur maximum, et ce, afin de générer un travail susceptible de plaire, notamment par l'humour. Vous seriez prof, je doute que vous n'en auriez pas envie pour éclaircir une journée banale. C'est donc lors d'un cours d'anglais, alors que j'étais en première économique et sociale au Lycée Saint Paul de Lens, que la prof nous demanda d'élaborer un sorte de "piécette" à l'oral, dans laquelle nous devrions faire la publicité pour un produit existant ou inventé. Après quelques concertations avec mon binôme François, je vais voir la prof pour négocier le format de notre présentation. Finalement, elle accepte qu'on lui rende une vidéo. La date limite étant Avril 2008, et nous devions être fin Février. Très rapidement, les ébauches de notre publicité apparaissent dans ma tête (bon, je dois dire que certaines scènes n'ont pas pu être réalisées pour des raisons budgétaires lol) alors que le cours à repris, mais manifestement, les trucs créatifs, ça me branche plus qu'autre chose ! Les rôles sont d'ores et déjà donnés : François jouera le rôle d'un sportif qui aura la classe avec sa nouvelle boisson énergétique radioactive alors que je jouerai le rôle de composition d'un sportif du dimanche (car François fait du rugby alors que moi je ne le battais qu'au ping-pong...) utilisateur de la marque X qui ne fonctionne pas vraiment. Les bons standards de la pub sont là, y'a plus qu'à donner une forme parodique et un peu ridicule pour réussir notre travail, noté qui plus est. Thibault, un autre camarade classe sera notre assistant pour nous filmer ou nous fournir les (pauvres) fusées servant pour un effet spécial (raté). Voici le résultat :

Pour l'anecdote, le tournage s'est fait sur deux jours et avec un appareil photo tout pourri. Sur la vidéo, si l'on fait un peu attention, on peut différencier les scènes tournées tel ou tel jour car le premier se déroula début Mars, l'hiver était encore là et on se les pelait en survêtement ! Surtout lorsque je dois me projeter de la flotte au visage, l'horreur. Heureusement que la deuxième partie du tournage se fit presqu'un mois plus tard, au soleil ! Les plans ont bien été pensé car ils offrent une bonne vue de l'action tout en cachant nos affaires (sacs, fringues et autres objets) planqués derrières les plus gros troncs d'arbre. A la base, on devait filmer l'action sur une piste athlétique mais il fallait une autorisation de la ville. Mais après être allés à la mairie de Lens pour avoir l'autorisation, il nous fallait un délai de 15 à 30 jours ! L'arnaque, on le fera autour du stade, entre les installations, ça fera illusion icon_razz. Une fois les scènes obtenues (non sans mal), j'ai réalisé le montage la veille au soir du jour J. Ce qui explique que ma voix est difficile à reconnaître en voix-off (en anglais en plus!) puisque j'essayais d'être le plus bas possible pour pas réveiller les autres habitants de la maison familiale (je regrette pas d'être en appart' aujourd'hui en y repensant). Pour préserver le suspens, mais aussi pour vous faire rire, voilà le making-of (tant attendu) de notre fausse pub avant de vous dévoiler la réaction de notre classe et de notre prof...

Le jour de la présentation, nous annonçons que nous passerons en dernier. Je ne sais plus pourquoi, mais nous avons bien fait, car les autres binômes ont fait un travail plutôt blafard, voire mauvais... Notre vidéo à bien relevé le niveau et a fait éclater de rire la classe tout comme la prof. On a donc eu la note parfaite du 20/20, et notre CD a été conservé pour le montrer aux futurs étudiants en guise d'exemple, le début de la célébrité ! Pour un premier montage et un premier court métrage, je suis plutôt fier de nous icon_wink

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L'équipe de choc (les costumes, c'était pour le dernier jour au lycée, rassurez-vous... Mais c'était la seule photo que j'ai trouvée où on était ensemble)

24 mai 2011

Anniversaire en territoire ch'ti

amelie_et_ouamEn weekend dans mon bon vieux Pas-de-Calais natal pour voir la famille dans toute ses branches, j'ai pu aussi faire acte de présence à l'anniversaire d'Amélie, cette peste excellente amie du lycée avec qui j'ai pu partager pas mal d'heures de cours à raconter des choses peu catholiques ou bien énerver l'intégralité des professeurs (mais je passais mieux puisque j'avais de bonnes notes. Héhé, c'est ça la classe icon_cool !). Voilà pour la petite histoire, ce qui justifie que jusqu'à aujourd'hui encore on ait gardé le contact. Qui plus est, c'est aussi une fan de Disney que j'aimais narguer à chacun de mes retours de séjours disneyens. Bref, après un repas de famille avec ses débats habituels (drôles cependant), je pars seul au volant de la voiture de mon père pour rejoindre le lieu de rendez-vous à Liévin city. Et quoi de plus agréable que de se promener en voiture, les fenêtres ouvertes par ce temps radieux, le tout saupoudré du dernier album d'Eddy Mitchell dont les décibels font se retourner les piétons ? Je vous le demande ! Vous avez là une des définitions du bonheur si j'ose dire.

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Deux des icônes de la soirée (avouez qu'il y en a quand même un plus classe que l'autre !)

Après quelques virages entre les corons (le bon stéréotype), me voilà arrivé à the place to be en cette soirée quasi-estivale. La maintenant bi-décennale maîtresse de soirée est là, avec sa "classe" habituelle, et sont déjà présent quelques invités. Le courant passe très vite, entre les amis interposés ayant les mêmes délires, ou ceux qu'on connaît de vue virtuellement ou non. Puis faut dire que j'ai beaucoup apprécié la soirée de par son respect de la parité. Une quinzaine de filles pour 2 garçons, c'est un équilibre comme je les aime ! Qui plus est, la musique est assurée par une vieille sono et son tourne-disque sur lequel tournent les vinyles du papa. Abba, Boney M, Kool & the Gang et surtout la compil' de Gilbert Montagné ont donc apporté un brin de gaieté supplémentaire à cet évènement de choix.

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Les mecs (Didier Gustin et Stéphane Berne qu'elles disaient tsss) et feu le gâteau.

La soirée continuera avec l'ouverture traditionnelle des cadeaux (évidemment, le mien vient de Disney pour boucler la boucle (puis bon, c'est aussi par que j'ai la réduc' !)) et la dégustation de plats frais, d'un délicieux gâteau en pièce montée. D'ailleurs, la modeste limonade à l'ancienne que j'ai rapporté parmi ces boissons alcoolisées n'aura pas fait long feu quoiqu'on en dise icon_razz. Et bien que les départs soient de plus en plus nombreux à l'approche de minuit, une poignée de résistants, dont je fis partie, décida d'aller au centre ville de Lens (corons, mineurs, stade Bollaert et RCL, vous voyez plus clair ?) au bord de ma voiture, entre autres, et ce, toujours accompagné par la bonne musique de monsieur Eddy, pour aller au Sombrero, la discothèque mythique (pas si mythique puisque c'était la première fois que 'jy allais) du bassin minier ! Mais avant, nous avons pu expérimenter la "ducasse" (ou fête foraine locale si vous ne comprenez pas) et ses auto-tamponneuses, soit le moment le plus culte de la soirée qu'on a passer à se foncer dessus entre les racailles rebelles du coin qui y passent tout leur temps, la classe les gars ! Quant au bar-discothèque, j'ai pu apprendre quelques danses entre les maquereaux locaux au cours de cette soirée en hommage aux DJs Gérard et Jésus (ça ne s'invente pas des noms pareils !) qui furent divins (hoho).

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La bonne bande de djeun's !

En un mot, ce fut une soirée mythique pleine de rencontres (et je ne parle pas pour cette dame vraisemblablement ivre dans la rue qui a essayé de s'incruster à la fête lol !). Comme quoi y'a encore des choses amusantes dans ce bon vieux nord ! (comment ça j'ai l'air de ne pas aimer ma région ?)

17 mai 2011

Road-Trip USA 2010 : Dixième partie

ArbysNO14h30 : La visite du bayou et le fait d'avoir vu les alligators s'empifrer de saucisses ainsi que de chamallows nous ont vraiment donné faim ! En quittant Cajun Encounters, nous passons dans une mignonne petite ville dans laquelle nous allons nous poser à un de mes fast-foods préférés, ceux de la chaîne Arby's. Dans les burgers, il n'y a pas de steak haché, mais une sorte de chiffonnade de boeuf cuite juste ce qu'il faut. En plus vous avez droit à au moins 6/8 tranches dans votre burger, j'ai trouvé que ce format faisait redécouvrir le goût de la viande, bonne surprise. En plus, Arby's à une autre exclusivité, ce sont les "curling fries", les frites ondulées ! Je me demande comment ils font ça... Mais après tout on s'en fout, on bouffe tout en à peine quelques minutes sans oublier de remplir notre verre géant du fameux Hi-C Fruit Punch grâce au free-refill qu'il y a partout aux Etats-Unis (pourquoi pas ici ? Pfff...). Nous reprenons alors notre fidèle véhicule et repartons vers le centre ville de New-Orleans en passant par le gigantesque pont sur lequel nous doublons un voiture un peu particulière. Effectivement, elle est recouverte de dessins à l'éffigie de Mickey et du château iconique de la Walt Disney Company. D'ailleurs, sur le côté on peut lire "Honk for Mickey !" qui veut dire "Klaxonnez pour Mickey !" Ce que nous n'avons pas manqué de faire et les ménagères qui étaient dans le véhicule nous ont répondu avec un bon pouce en l'air ! Que j'aime ce genre de réaction, les Etats-Unis valent le détour juste pour ce genre de rencontres.

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La bonne voiture taguée par des Disneyfans extrêmistes !

Nous rejoignons le sol ferme et arrivons dans les rues de la ville où Grandmath nous fera remarqué qu'il y a une jolie blonde de dos sur le trottoir... Seulement, de l'autre côté, on s'est aperçus qu'elle n'était pas si jeune que ça (hmmm, les bonnes rides !). Bref, nous nous engouffrons dans les petites ruelles non loin de la Bourbon Street, l'axe principal du quartier français, qui est signalée par les panneaux. On trouve relativement vite une place avec parcmètre, saisissons-là car apparemment, les places sont rares ! Nous quittons notre embarcation et nous nous dirigeons vers la fameuse rue. Les ruelles sont très calmes et paisibles mais au fur-et-à-mesure de notre approche, ce calme est rapidement remplacé par une ambiance de fête, que dis-je, une orgie (lol !).

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On débarque dans l'axe principal et là, c'est le foutoir ! Les bars crachent des décibels de blues, de rock au point que je me demande si les vieux murs de ces bâtisses historiques vont tenir le coup, les gens hurlent dans la rue, les bagnoles de flics ou de quelques ambulanciers font retentir leur sirène en passant dans des couloirs bordés par la foule de la rue. Apparemment, aujourd'hui, c'est jour de grand match de football (rugby pour nous) dans le stade non loin du centre ville, et l'ambiance est à la fois bruyante et bon enfant. La rue est donc un gigantesque joyeux bordel entre les supporters de chaque équipe qui se taquinent en se croisant, les strip-teaseuses dans la rue et aux balcons, les figurants divers costumés en pirates, grenade géante, sorte de bonhomme avec une grande b*** (hmmm, c'était du plus bon goût). D'ailleurs, des balcons, certaines filles lancent des colliers aux garçons qu'elles trouvent mignons (j'en ai reçu un que je garde précieusement icon_razz). Beaucoup de racoleurs déambulent dans la rue pour nous faire rentrer dans leurs bars aux services... Disons spéciaux (serveuses aguicheuses et autres strip-teaseuses si ce n'est pas plus). Nous allons jusqu'aubout de la rue, et ce côté là de la rue, c'est le quartier gay ! Alors les quatre mecs qui débarquent là dedans, ça attire les regards lol... Vite, allons voir le reste de la ville s'il vous plaît !

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Nous nous dirigeons alors vers le delta du Mississippi qui se jette dans l'océan à proximité. Dans ce dernier, au distingue au loin un bateau à aube s'y promener. Un peu plus loin, toujours à proximité du fleuve, nous pouvons distinguer le clocher de l'église Louis XVI construite en son honneur. Eh oui, on est bien sur un ancien territoire français, d'ailleurs certaines enseignes de magasin ont des noms français (mal orthographiés, mais bon, c'est l'intention qui compte !).

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Ayant besoin de timbres, nous faisons le tour de pas mal de boutiques en croisant des chanteurs entre autres artistes de rue aux créations insolites. Il y avait même une boutique vaudou avec des squelettes d'alligator, des ingrédients étranges, des statuettes et reliques mystiques et surtout les colliers connus de la ville pour leur utilisation lors du Mardi Gras (pour que la personne à qui vous le donnez vous montre un peu de son intimité... Chaleureux comme fête !). Nous arrivons ensuite sur ce qui semble être l'axe principal de la ville où se trouvent les grands hôtels et quelques buildings surplombant la route sur laquelle poussent des palmiers et circulent des trams pittoresques. Vraiment joli comme endroit. Après quelques détours, nous décidons de retourner à Bourbon Street pour se poser dans un bar de jazz. En route, nous visitons un énorme sex shop aux articles insolites ou sympathiques (priez pour nous) en croisant de jeunes filles qui observent ces objets phalliques vibrant... Un poil gênant, mais faut assumer les gars hein ! Bref, nous partons à la recherche d'un joli bar ou d'une belle terrasse pour nous poser et boire un coup. Mais avant d'y arriver, nous avons subit l'appel du vice (enfin de GM quoi) et avons été tentés d'aller dans un bar de strip-tease. Heureusement, l'initiateur du mouvement sera responsable de la non-permission d'y entrer car il portait un vêtement sans manches. Bien ! Finalement, nous nous posons dans un charmant petit square honorant les légendes du jazz local. Un orchestre y joue en live, et le comble, c'est qu'il se nomme le Steamboat Willie, comme le premier dessin animé avec Mickey, ça ne s'invente pas !

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18h30 : Nous nous promenons une dernière fois dans le centre ville pour trouver une boîte à lettres, et finalement la carte de GM sera postée à l'accueil du Ritz-Carlton où lui et Erwan iront aux WC de luxe. Pendant ce temps, Julien et moi voyons défiler des véhicules particuliers, comme une voiture aux jantes immenses et chromées ou encore le bus noir "Party non-stop" qui dégage un bruit assourdissant en plus des cris des filles aux fenêtres. Je n'imagine même pas l'état de leurs tympans !

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Nous regagnons alors notre véhicule et quittons la tumultueuse New-Orleans en direction de la Floride avec comme étape les environs de la ville de Pensacola où nous passerons la nuit. Seuls Julien et moi aurons la force d'aller profiter de la piscine de notre motel (plutôt classe), mais quelle horreur de rejoindre la chambre en passant par le couloir climatisé à outrance alors que nous étions trempés ! A ce propos, en approchant de la Floride, nous devons changer d'horaire et décaler nos montres d'une heure. Et là où nous nous trouvions, nous ne savions pas quelle heure sélectionner, ce qui expliquera le fou-rire de la réceptionniste appelée vers minuit pour lui demander "What time is it please ?".

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Lundi 28 septembre :

9h30 : C'est l'heure de se réveiller ! Et surtout d'aller profiter du petit déjeuner inclus dans les services de notre motel. C'est l'occasion de manger du sirop d'érable à la gaufre. Oui car il y avait plus de sirop dans l'assiette que de gaufre, même si ces dernières qu'on faisait nous même comme à l'éconolodge d'Erie (cf : troisième partie du trip-report) étaient délicieuses ! Pleins d'énergie (surtout de sucre), nous quittons notre motel sous un soleil radieux qui va rapidement s'estomper au profit de la grisaille et des nuages pleins de flotte qui couvrent notre route vers Walt Disney World. Pendant que je conduis, certains commencent déjà à nettoyer le bordel qu'était devenue notre Chevrolet Traverse. Elle en avait bien besoin ! Pour la suite de notre voyage du jour, nous avons fait une petite pause déjeuner à un Mc Donald pour faire le plein de calories avant de déconner sur les musiques de notre playlist ou en tentant de lutter contre une pluie diluvienne à 70 miles à l'heure (soit 110 km/h, les gouttes deviennent de véritables aiguilles vous perforant le visage, ou presque lol).

16h45 : Au bout de quelques heures de route, nous arrivons sous un soleil de plomb dans les alentours d'Orlando. De ma place de conducteur, j'aperçois au loin Universal et les plus hautes tour de Poudlard : ça y'est, on y est ! Cependant, l'heure presse car à Détroit, l'agence de location nous avait dit d'arriver avant la fermeture de l'agence de Walt Disney World pour rendre la voiture, soit 17h30. On s'arrête à une station essence à proximité d'Universal (qui nous fait déjà bien saliver de loin !) et reprenons notre course folle sur l'immense autoroute. Notre sortie approche et nous quittons l'autoroute pour nous engouffrer dans le domaine estampillé Disney. Je reconnais des attractions au loin, les hôtels uniques de cette destination, le pied ! Mais vite, on a moins de dix minutes pour nous rendre à l'agence Alamo située dans l'hôtel Swan & Dolphin dessiné par le même architecte que celui du New York de Paris (ça se voit !). GM et moi entamons un marche très rapide pour rejoindre l'agence et là, personne. En fait, rendre les clés au voiturier suffisent... Merci les employés de Détroit lol ! Au moins, on a pu découvrir le lobby IMMENSE de l'hôtel, ça change radicalement de notre resort français, ne serait-ce que sur ce point. Voilà, nous quittons et devons abandonner notre chère voiture qui aura subit de nombreux délires et sévices lors de ces longues heures de route. 5300 kilomètres en notre compagnie, quelle aventure !

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17h45 : Les adieux étant faits, nous prenons la navette pour rejoindre notre hôtel, le magnifique Coronado Springs dans lequel nous logerons dans les Cabanas, situées à peine à 50 mètres de la piscine principale ! La grande classe ! Nous posons nos affaires et sans plus attendre, nous fonçons à Epcot pour nous détendre après ces 7 heures de route. La nuit tombe assez rapidement après 20h lorsque nous arrivons dans le parc. Nous rejoignent alors Nico, Satine et Caro qui étaient déjà sur place et faisons Spaceship Earth, Mission Space ou encore Test Track avant d'aller assister au magnifique feu d'artifice Reflexions of Earth sur le lac du World Showcase. Vraiment magnifique, le tout dans une raiment unique, quelle expérience ! Nous retournons tous à l'hôtel où nos chambre sont côte-à-côte et faisons un saut à la piscine malgré l'heure tardive. Mais quel plaisir de se baigner si tard avec une température plus que convenable ! Et ce n'est que le premier soir, la Floride nous laisse encore beaucoup de choses à expérimenter et à découvrir...

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A suivre ! Les 4 derniers jours de notre périple en Floride seront condensés en un seul article où je parlerai de mon ressenti sur les parcs et les attractions qui m'ont le plus marqué. Soyez patients, la suite arrive... icon_wink

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25 avril 2011

Ah, bah c'est déjà le printemps tiens !

Me revoilà après un loooong stand-by, a tel point que l'hiver est maintenant bien derrière nous et ça, personne ne s'en plaindra (surtout pas moi) ! Effectivement, j'ai eu une période extrêmement chargée : entre les exams de fin de second trimestre, une soirée évènement Disney Channel, un weekend nordique, encore un autre enregistrement d'émission des Grosses Têtes et la préparation du gros Meeting des 10 ans de DCP (qui inclut donc les répétions pour le show maintenant devenu culte : Captain EO - Le musical et la fabrication des costumes/décors d'un tel réalisme qu'ils ont rendu jaloux des personnalités telles Steven Spielberg ou encore James Cameron...)... Je n'avais donc pas un moment à moi, mais c'était loin d'être une corvée, on y a tous pris plaisir et le résultat est là : une soirée parfaite où tout le monde en a eu pour son compte si ce n'est plus !

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Bref, j'y reviendrai certainement dans un autre article pour partager avec vous une sorte de making-of icon_wink. En attendant je peux dire que la vie est belle en ce moment, surtout grâce aux beaux jours qui sont bel et bien là ! Puis ce weekend de Pâques de trois jours était on ne peut plus nécessaire pour se remettre les idées en place sans oublier de glander un peu, surtout après une promenade de plus de trois heures en rollers (achetés pour l'occasion, mais je suis certain qu'ils vont resservir assez tôt !). Les courbatures furent terrible, mais c'est pour la bonne cause.

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Cheveux au vent, et avec style ! (...ou pas)

Bien que les cours continuent et que je suis toujours à la recherche d'un stage, je suis dans une de mes phases optimistes et euphoriques. C'est en partie lié aux beaux jours, les souvenirs impérissables de cette soirée des dix ans du forum totalement réussie et surtout parce que je sais que les activités vont pleuvoir d'ici peu de temps (Ok, à condition que le temps reste comme tel, prions ensemble ! icon_razz), puis qu'en mai, j'ai déjà deux évènements bien sympas qui m'attendent : le premier, ce sont les Gérard de la politique auxquels j'ai été invité pour assister en live à cette première et ensuite, le 30 mai, le concert tant attendu de Roger Waters avec The Wall à Paris-Bercy où j'aurai une place de choix. J'ai tellement hâte mais pas trop, à trop se concentrer sur l'avenir, on finit par ne pas voir les beaux jours passer !

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L'expérience musicale et visuelle ultime !

Bien, il ne me reste plus qu'à renouveler mon abonnement à la salle de sport (il serait temps !) et reprendre l'écriture du Trip-Report du Road Trip américain, j'en ai marre de recevoir vos lettres de plainte (non pas à ce point, mais c'est presque ça et je vous en remercie, ça me fait plaisir !). Sans oublier qu'à la fin de ce dernier, il y aura un petit concours... Donc restez dans les parages !

13 mars 2011

Vivement le printemps !

PollenEnfin nous touchons à la fin de l'hiver ! Je vis cette saison de moins en moins bien, je tombe souvent malade et il y a de ça quelques jours j'étais grippé jusqu'au fond du lit... J'espère que l'été durera aussi longtemps voire plus, histoire de profiter un peu et d'attraper quelques couleurs. D'ailleurs à propos de printemps, mes amis de Chronique Disney nous ont proposé des places à quelques uns de mes camarades DCPiens et moi-même pour l'avant-première du film Pollen avec à sa fin, un séance de questions/réponse avec Jean-François Camilleri (président de Disney France et du label Disney Nature). Un joli cadeau pour me permettre de voir de belles images sans pour autant avoir le nez qui coule comme un robinet, et surtout pour apprendre que le processus de pollinisation est vital pour nous ainsi que pour notre planète et que ce dernier est pratiqué non seulement par une multitude d'insecte, mais aussi des mammifères comme les chauve-souris. Sans oublier les stratagèmes qu'utilisent les fleurs pour se reproduire et les petits coups de pouce qu'elles donnent aux bestioles venant leur rendre visite. En bref, une jolie production qui se laisse regarder et qui est très instructive même si ce n'est pas le genre que je chérie le plus. Courrez-y pour satisfaire votre soif de connaissance et pour vous motiver à fleurir vos balcons et jardins (zut, j'en ai aucun des deux... Sauf chez mes parents et là les insectes ont de quoi faire, ouf icon_razz). D'ailleurs voilà un reportage bien sympathique où apparaissent certaines têtes bien connues et Monsieur Camilleri qui a bien voulu répondre à nos questions :

Sinon je suis assez occupé en ce moment, la recherche de mon stage d'été bat son plein, surtout lorsqu'on souhaite travailler dans une entreprise intéressante. Je croise les doigts pour connaître une expérience riche et très formatrice tout en profitant des beaux jours que l'été nous offrira, ou du moins je l'espère icon_wink Et pour finir, j'ai récemment découvert un film "culte" qui va connaitre un remake dans les années qui viennent lors d'une traditionnelle soirée DVD bien agréable.

DCPcin_club LE_TROU_NOIR_THE_BLACK_HOLE_1980_reference

Ce film qui va demander énooooormément de travail aux scénaristes de Disney est Le Trou Noir. Après le clin d'oeil que l'on peut voir dans Tron : Legacy, ce film à commencé à m'intriguer mais j'avoue avoir été déçu sur l'ensemble bien que certains décors et un nombre limité de scènes sont géniales (le vaisseau géant, la boule de feu géante qui le traverse...). Par contre n'essayez pas de comprendre la fin, vraiment trop psychédélique. J'espère que dans le remake, ils penseront à essayer de deviner ce qu'il pourrait y avoir concrètement derrière ce fameux trou noir. A découvrir donc, mais je vous préviens, c'est assez spécial, kitsch, bizarre... Indispensable en somme !

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Faut avouer qu'au moins l'affiche est classe...

13 mars 2011

Road-Trip USA 2010 : Neuvième partie

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13h00 : Après notre bonne visite du Cooter's Place, nous reprenons notre monture bien carrossée pour emprunter la freeway nous menant à Nashville, la ville berceau du Rock'n'roll. On la reconnaît facilement de loin avec sa tour disposant de deux grosses antennes, c'est peut-être là-haut où se trouve le bureau du diable. Nous arrivons donc dans le centre ville, nous faisons rembarrer d'un parking couvert qui était trop cher (d'ailleurs, pour qu'on fasse demi-tour, le type nous laisse passer la barrière, on aurait du tester en allant se garer dans les étages supérieurs pour voir s'il avait réagi lol) nous en trouvons un public mais tout de même payant. C'est un parking plein air situé juste à côté d'un vieil entrepôt dont le mur jouxtant certains places pour se garer laisse tomber quelques briques puisqu'il est en ruine... Hmmm, évitons ces places là si l'on veut conserver notre caution ! Après un peu de marche dans les petites ruelles de la ville, nous tombons sur un des axes principaux, rempli de bars à orchestres, de boutiques d'instruments, de bottes ou de souvenirs bien patriotiques. Il faisait grand soleil et la promenade est agréable entre tous ces bâtiments en briques rouges (tiens, ça me rappelle le Pas-de-Calais !) et dans ces rues où de grands arbres bien feuillus vous apportent un peu de leur ombre bien rafraichissante.

Nash_batiment nash_tour_briques

Nous rentrons dans une première boutique avec beaucoup de produits sur Elvis, la star locale mondialement connue : on peut donc se procurer la tasse Elvis, le thermos, le drapeau, le T-shirt, l'uniforme de l'armée du King... Bref, tous les produits dérivés possibles pour bien exploiter ce filon inépuisable. Puis pas mal d'objets cultes des USA, des drapeaux aux plaques d'immatriculation de tous les états, des petits livres de poche sympas (comme celui avec les mots bien vulgaires que je vais peut-être me procurer après-coup). Quelques mètre plus loin en sortant de cette caverne d'Ali Baba, on rencontre un attroupement devant un chanteur-guitariste mais surtout sa Harley sur laquelle trônent ses deux chiens barbus, chevelus et portant des lunettes de soleil. Ils avaient plus de succès que lui et plus de "tips" dans leur bac à pièces que leur propriétaire chanteur (qui n'était pas mauvais d'ailleurs, au contraire).

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Nous descendons alors vers la rivière qui longe la ville en croisant un bus touristique rose à vous en faire saigner les yeux et nous arrivons au Fort Nashborough construit à la fin du 18ème siècle (enfin, ce que nous voyons aujourd'hui est juste une réplique de ce fort existant avant la ville mais qui est reproduit au quart de sa taille originelle). On se croit un peu à l'entrée de Frontierland avec ces constructions en bois. Nous ne traînons pas trop car le lieu est finalement assez petit. D'ailleurs Grandmath resteras plus longtemps à l'entrée du bar à filles Coyotte Ugly pour essayer de voir ce qu'il s'y passe et éventuellement les tarifs... lol ! On remontera ensuite par un autre axe important de la ville, toujours rempli de boutiques de bottes, de bars à orchestre entre autres... Pour ensuite monter sur le pont qui passe au-dessus de la rivière qui longe le fort afin d'avoir une vue imprenable sur la ville. Toutefois, la pont à été réservé pour un évènement privé (ah, original comme lieu, mais n'est-ce pas un peu générateur de bordel routier ?), nous ne pourrons pas le traverser sur toute sa longueur. Au moins il nous interrogera sur la cause de la présence d'une chaussure seule située sur le toit d'un restaurant, encore une autre question existentielle sans réponse...

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15h00 : Nous retournons alors à la voiture pour entamer les 9 heures de route qui nous séparent de la Nouvelle-Orléans. Mais avant toute chose, au sortir de la ville, nous nous arrêtons pour faire le plein... De bouffe au Mc Do qui n'a évidemment rien à voir avec ce qu'on nous vend en France, un délice ! D'ailleurs, on fera une photo sympathique dans les toilettes où une cuvette classique est posée juste à côté d'un urinoir puis du lavabo. Est-ce qu'en cas de forte affluence, toutes ces commodités sont-elles utilisées en même temps ? Eh bien oui, comme le prouve notre photo. Le lieu en devient que plus convivial ! La highway que nous empruntons ensuite passe à travers une gigantesque forêt qui n'en finit pas sur laquelle nous croisons un camion transportant des voitures d'une manière assez dangereuse, notamment à cause la voiture qui lui cache au moins 50% de la visibilité de son conducteur puisque l'avant descend devant son pare-brise ! Au bout de deux heures, nous franchissons la frontière entre le Tennessee que nous quittons pour entrer dans l'état de l'Alabama. A peine cette limite franchie que nous voyons s'ériger au loin une sorte de pic noir et blanc géant. Plus nous avançons et mieux nous distinguons l'objet, c'est une sorte de fusée qui au premier abord m'a l'air d'une reproduction gonflable géante, mais en réalité, c'est une vraie fusée posée comme ça dans une aire d'autoroute.

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Il n'y a pas plus convivial !

Un peu plus loin sur la même aire, nous trouvons plein de mini-mémorials guerriers que ce soit sur la guerre de sécession, de Corée ou encore du Vietnam. Au moins, on se recueille une bonne fois pour toute et on peut continuer notre périple. 2 ou 3 heures plus tard, nous faisons une autre pause avant de quitter l'état d'Alabama. La nuit est tombée et nous voulons aller aux WC et éventuellement acheter deux-trois gourmandises et boissons aux distributeurs automatiques (qui acceptent les billets, bien pratique !). En traversant une sorte de petite bosse de pelouse, le sol grouille de petits mouvements sous nos pas et il y a des insectes bizarres qui courent ou sautent vite, c'est bien flippant ! En même temps, la chaleur augmente et le taux d'humidité aussi, on se rapproche bien du Mississippi et de New-Orleans. Juste avant de quitter cette aire, on fera une photo devant un beau camion dont le propriétaire était sympa mais pas très bavard. Bref, nous filons vers notre destination éclairés par la lune, mais pas pour très longtemps... On aperçoit au loin le panneau géant nous souhaitant la bienvenue dans l'état du Mississippi, et à peine quelques centaines de mètres après : BLAM ! Grosse averse, mais vraiment terrible. Les essuie-glace à pleine vitesse, on distinguait encore mal la route ; en plus il y avait un éclair en moyenne toute les 4 secondes. Vraiment impressionnant ! Heureusement, on reporte notre angoisse sur les crackers au fromage synthétique achetés aux distributeurs lors de notre dernière pause. Puis à environ 2 heures de notre destination, nous faisons un autre arrêt pour faire le plein d'essence et acheter d'autres boissons ainsi que d'autres gourmandises trop sucrées, salées, chimiques... Mais objectivement délicieuses icon_razz. D'ailleurs, dans la plupart des stations service du pays, on trouve souvent en libre accès au pied de la pompe des sortes de raclettes pour nettoyer le pare-brise des voitures à cause de tous les moustiques entre autres insectes qui s'écrasent sur la vitre. On y aura eu droit de Cedar Point jusqu'en Floride ! Sans racler tout ces cadavres, la visibilité du conducteur serait assez limitée, évitons donc de rendre notre périple encore plus périlleux.

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00h00 : Environ deux heures après ce dernier ravitaillement, nous arrivons dans la périphérie de New-Orleans et nous lançons à la recherche d'un motel. Dans notre GPS (Garmin, vraiment merdique au passage), nous cherchons le Motel 6 le plus proche (en plus c'est une chaîne de motels française, détenue par le groupe Accord). Après quelques demi-tours dans une zone industrielle un peu flippant et une petite montée d'adrénaline lorsque la route devant nous s'arrête nette dans un fossé, nous arrivons au motel qui, malheureusement pour nous est complet. Tant pis, on relance nos recherches en se dépêchant car le caissier de la dernière station essence nous avait mis en garde contre l'insécurité de la ville une fois la nuit tombée... Nous jetons finalement notre dévolu sur un Super 8 Motel décoré comme les fameuses bâtisses du quartier français de la ville mais qui fait un peu cheap. Nous allons tous rapidement au lit, mais une goutte qui tombe en continu dans la salle de bain nous dérange Julien et moi. Je vais donc fermer la porte pour pouvoir enfin pioncer tranquille, d'ailleurs j'ai du forcer un peu, bref. Je retourne au lit et toujours cette p***** de gouttelette qui tombe. Bon, je vais dans la salle de bain pour en savoir plus mais la porte ne s'ouvre plus... Tout le monde se lève donc pour essayer d'ouvrir la porte pendant presque une heure (entre bonnes tranches de rigolade, comme lors de notre demande aux voisins si on pouvait éventuellement chier avec eux, lol !). Finalement, j'arriverai à crocheter la serrure avec un cintre de l'hôtel que j'ai du casser. On s'en débarrassera discrètement le lendemain pour éviter de payer je ne sais quelle charge supplémentaire. De vrais truands !
new_orleans

Dimanche 27 septembre :

gator_crossing09h00 : Nous nous réveillons et allons prendre notre petit déj' (ou plutôt ce que les autres touristes nous ont laissé, c'est-à-dire peu de chose) et consultons les brochures des tours touristiques locaux. Après avoir hésiter pour visiter un site hanté dans les environs, nous finissons par choisir une fois dans la voiture et en route pour le centre ville d'aller faire un tour dans les bayous avec Cajun Encounters. Nous retournons donc sur nos pas dans la ville, ce qui nous permet de constater que pas mal de ruines du cyclone Katrina sont toujours présentes... Nous traversons un des plus longs ponts du monde et arrivons à destination, au pied d'un vieux pont levis tout rouillé. Comme on arrivait à l'improviste, on ne savait pas s'il y avait de la place pour le prochain tour groupé qui est à... 12h00. Parfait ,c'est dans une bonne demie-heure, le temps de visiter la boutique aux articles qui tournent autour des alligators et des tortues, sympa. A l'extérieur, il y a une salle d'attente avec des ventilateurs pour rafraîchir les visiteurs en cette chaleur suffocante et un taux d'humidité proche des 90%. Une moustiquaire ? C'est l'élément essentiel ici, nous seulement ici les moustiques sont légions, mais il y a aussi un insecte très présent aussi grand qu'un frelon (enfin, les gros frelons qui font 3 centimètres de long) mais en noir et avec une espèce de dard orangé. Ayant envie d'aller aux WC, je me rend à l'extérieur pour aller dans un petit cabanon où se trouvent les urinoirs ainsi que trois de ces bestioles sus-mentionnées... Dans un si petit espace, la collision ne peut être qu'envisageable, alors finalement je préfère faire ça dans les herbes hautes pas trop loin histoire de pas me faire surprendre par un alligator comme le précise le panneau. Hostile la nature ! Un car de touristes arrive avec les bonnes familles allemandes avec leur combo tongs-chaussettes mythique et leur peau blanche devenue rouge vif sous le soleil brûlant.

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12h00 : Nous nous rendons aux embarcations et nous choisissons celle sans toit pour mieux profiter (bien que le soleil nous ait fait un peu souffrir). Ce tour étant le moins cher qu'on ait trouvé, on s'inquiètait un peu sur sa qualité, mais finalement, il fut génial et notre guide était vraiment dynamique et sympa. On fera la connaissance entre autre de Big Sissie, l'alligator dominant du coin qui fait 5 à 6 mètres de long et qu'on aura vu bouffer à moins d'un mètre de nous en sautant dangereusement vers notre embarcation.

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Entre moments de détente et angoisse... lol !

D'ailleurs, étant situés juste à côté du guide, on a assisté à toutes les dégustations de ces bestioles. Flippant et excitant à la fois. On a donc beaucoup appris sur la faune et la flore locale, vu les bébés alligator bondir totalement hors de l'eau, découvert les ravages de Katrina dans les environs. Et les pointes de vitesse étaient bien agréable dans cette végétation luxuriante avec le vent bien rafraichissant sur notre peau brûlante. Vraiment plaisant ! Bien, il est temps de filer vers New-Orleans, ville dont la décadence nous a assez surpris...

15 février 2011

Le temps de respirer

Que c'est bon de respirer un peu ! En ce moment, je suis en vacances et j'en ai profité pour passer quelques jours de tranquillité dans ma maison familiale du Pas-de-Calais. C'est l'occasion pour moi de reprendre un peu ce blog et de vous rassurer quant aux Trip-Reports du road trip, ne vous inquiétez pas, ils vont arriver, mais quand je serai rentré, j'ai pas mes photos ni mes textes ici (désolé, je suis très tête en l'air !). Cependant, j'ai envie de vous parler de deux expériences coup de cœur que j'ai vécu récemment. Certes il y a les cours, mais ça ne m'empêche pas de prendre du bon temps au grand dam de mon blog qui paraît à l'abandon. Mais celui-ci, je ne l'abandonnerai pas, et c'est promis !

tron1

Bref, pour en revenir à ce que je disais un peu plus haut, j'avais envie de partager avec vous deux temps forts de ces derniers jours, à commencer par la découverte du film qui enjolive cette saison cinématographique hivernale. Bien que je l'ai vu en avant-première dès la mi-janvier, je vais quand même m'y attarder un peu, même si c'est avec un "léger" retard, car nous avons là une perle visuelle comme on en voudrait tous les jours ! Je pense que vous avez saisi que je parle bien de Tron Legacy, la digne suite du film Tron premier du nom. Bien que le premier opus était un peu longuet et que sa musique était un peu irritante, j'adorais le regarder pour cet univers si particulier et surtout pour le fait qu'il était le tout premier film à introduire la 3D en 1982 au cinéma. Aujourd'hui, nous avons fait beaucoup de progrès dans ce domaine et je peux vous dire que vous prenez une sacrée claque, il y a tellement de choses à voir ! Le potentiel de ce monde virtuel est quasiment infini en plus d'y retrouver les éléments cultes déjà présents dans son prédécesseur et qui sont modernisés et magnifiés. En somme, je ne me lasse pas de le voir et de le revoir, surtout en format IMAX pour savourer la bande originale succulente composée par mes Daft Punk adorés. Sans parler des séquences d'action époustouflantes, de la belle Olivia Wilde que je chérissais déjà dans la série Dr. House, voire même de la jolie blonde qui fait quelques apparitions dans le film (j'aimerai aussi qu'elle s'occupe de mes vêtements !). Courrez donc le voir, pauvres fous !

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J'aimerai bien le revoir avec cette demoiselle comme voisine,
puis dans la salle noire, son costume sera bien pratique pour me repérer !

A propos de fous justement, pas plus tard qu'il y a pas longtemps, j'ai assisté à l'enregistrement d'une des émissions des Grosses Têtes, l'émission radiophonique de Radio-Télé-Luxembourg (RTL bande d'ignorants) cultissime qui existe depuis quelques décennies mais qui n'a pas perdu de son mordant malgré l'âge de de ses pensionnaires. J'écoute souvent cette émission en sortant de cours grâce à mon portable qui capte la radio, ou bien je l'écoute sur internet sur leur site et j'essaye de ne pas en manquer une miette. Ils ont toujours les bons mots souvent, pour le mauvais goût mais pour le plus grand plaisir de mes zygomatiques !

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J'ai donc pu voir en action, assis entre deux quinquagénaires (si ce n'est pas plus.. Âgé j'entends), Philippe Bouvard entouré de maîtres tels que Pierre Bellemare, Bernard Mabille (celui qui écrit les sketchs de Laurent Gerra, entre autres) ou encore Jacques Maillot (il y avait aussi Amanda Lear dans un autre registre...) qui manient tous la langue française pour l'amener en finesse dans la bonne gaudriole. Les invités étaient les Chevaliers du Fiel, on a donc eu droit à des anecdotes bien sympathiques ; puis j'ai pu découvrir un peu l'envers des ondes radio en ayant visité en partie les studios RTL situé en plein Paris, non loin des Champs Elysées. Mais j'avoue que j'étais une belle irrégularité dans un public pareil, je n'ai pas beaucoup baissé la moyenne d'âge, c'était impressionnant à voir, et en plus ils me prenaient tous pour un OVNI, sacrés retraités !

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Avec un titre pareil, je pense que vous
avez cerné le personnage...

J'espère y retourner afin de rire de nouveau avec ces dinosaures et aussi pour rencontrer ceux que j'apprécie tant mais qui n'étaient pas présents ce jour là, notamment Philippe Chevalier ou encore Jean-Jacques Peroni dont les répliques et autres blagues sont si bonnes que je les note toutes dans un petit calepin spécial (vous avez là le secret de mes blagues les plus (ou les moins) réussies).

2 janvier 2011

Road-Trip USA 2010 : Huitième partie

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Vendredi 25 septembre :

motel69h30 : Nous nous réveillons après une bonne nuit bien régénératrice mais commençons très dur avec un défi digne des tarés de Jackass. Nous goûtons tour à tour l'immonde boisson achetée la veille par Julien (je crois) nommée "Refresh Grape" qu'il a laissé tellement le goût était infecte, même fraîche ! Durant la nuit, elle a donc bien eu le temps de macérer à l'air libre, et je peux vous garantir que je ne comprends toujours pas comment un tel truc peut être commercialisé lol ! Bref, on s'habille et on fonce vers le cœur touristico-historico-politique de Washington pour faire le tour du majestueux Capitol. Nous avons pu nous garer à proximité et avons vidé nos dernières pièces dans le parcmètre pour avoir le temps de se promener dans les environs. Sur le chemin, on longe de grandes aires de verdure et d'arbres parsemés ci-et-là, c'est très aéré et vraiment agréable à voir. Une fontaine rafraichissante est sur notre chemin, on s'y pose pour sentir du bout des doigts sa température mais ça dégénère instantanément en mini-bataille d'eau. Mais il faisait tellement chaud que nos vêtements ont séché en cinq minutes montre en main ! Nous progressons donc vers l'immense dôme blanc tout en croisant de mignons écureuils et un employé-jardinier qui nous fait rire par sa posture avec son tuyau d'arrosage (jolie l'imagination lol)... Nous arrivons au pied de ce magnifique bâtiment, il est d'ailleurs étroitement surveillé par des agents de sécurité qui nous empêchent même de sortir le trépied en face de son entrée principale. C'est pas grave, faisons le tour ! Nous empruntons encore une fois un chemin bien agréable au sein de la verdure, et de la grande aire de pelouse derrière le Capitol, on pourra enfin poser notre trépied !

capitolfontaine capitoljardin

On se serait bien baignés dans la fontaine !

Julien fera quelques clichés supplémentaires, mais Erwan, Grandmath et moi allons nous poser à l'ombre d'un arbre. Il devait faire 35°C ou plus, et le soleil était au zénith sans qu'aucun nuage vienne atténuer ses rayons. J'ai vraiment eu un coup de chaud à cet instant, mais la petite pause me fit du bien, surtout après avoir trouvé dans un renfoncement une petite fontaine d'eau potable située dans une petite ruine faîte de briques rouges envahie par des pousses de lierre. C'était un coin vraiment charmant et étonnant à voir dans un tel endroit. Nous retournons à la voiture et enchaînons avec la fameuse Maison Blanche. La rue qui passe devant ses grilles est obstruée à ses extrémités par des blocs de béton ainsi que par des voitures de policiers montant la garde. Les grilles délimitant la propriétaire sont usées par le passage des touristes qui y posent leurs mains, tout la peinture disparaît, ça dit leur coûter cher à refaire tous les deux/trois jours j'imagine vu la vitesse de l'usure :P. Les jardins sont vraiment magnifiques, tout comme la White House. Et détail amusant (pour nous, pas pour d'éventuels terroristes), il y a des trépieds sur le toit, certainement pour des snipers postés là par sécurité pour défendre le bon Barrack ! Avant de retourner à la voiture, on fera vite fait un tour dans une boutique qui vend des souvenirs de la capitale. C'est beau, mais parfois, c'est un peu kitsch aussi. Vous auriez aimé avoir une assiette souvenir avec Barrack et Michelle gravés et peints dessus ?.. C'est comme en Angleterre avec la famille royale, mais de mon point de vue, c'est assez drôle et exagéré à la fois. On croisera aussi un beau camion de pompier filant à la rescousse de la veuve et de l'orphelin, et sur le trottoir on achètera quelques cartes postales de la capitale fédérale et des boissons pour étancher notre soif de plus en plus insoutenable.

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On aurait bien voulu être arrosés par le camion aussi !

13h30 : Heureusement, on va pouvoir profiter de la climatisation de la voiture pendant notre route vers Nashville, soit à peu près 11 heures de route. En effet, la clim', on va bien en profiter ! La route sera ponctuée par un petit McDo local (avec son délicieux et riche Angus Wrap alors que nous on a que de ridicules p'tits wraps !) et par une compilation de chansons d'Eddy Mitchell pour nous mettre dans l'ambiance "les USA vus par les frenchies". On arrivera vers 00h00 à Knoxville, à une heure et demie de route de Nashville, pour enfin nous poser dans un autre Motel Six, mais cette fois, en chambre fumeur (c'était une des dernières chambres disponibles). Pouah, quelle odeur ! Le tabac froid, c'est vraiment infâme ! Le motel est juste à côté de l'autoroute, notre aération fait un bruit de réacteur de mirage 2000, il y a des mégots sous les lits (mais on ne les remarquera que le lendemain matin) et le mur derrière la porte d'entrée comporte un gros trou causé par l'impact violent de la poignée. C'était assez visible bien que ce trou fut plus ou moins délicatement caché au plâtre blanc sur une tapisserie ocre... Bref, la fatigue fera qu'on tombera tous comme des masses en quelques minutes.

Samedi 26 septembre :

10h00 : Le réveil sonne et nos estomacs nous poussent à chercher dans les environs un fast-food servant le petit déjeuner. Le motel étant en pleine zone de carrefour autoroutier, il y a tout ce qu'il faut : supérettes, stations essence et fast-foods en tous genres. On jettera notre dévolu (une fois de plus) sur le McDo avec son omelette synthétique dégueulasse mais les pancakes furent délicieux avec le sirop d'érable et le bon jus d'orange frais. Bien ! Il est temps de rejoindre Nashville, enfin, d'abord sa périphérie avec un endroit touristique assez particulier... Nous prenons la route et doublons sur l'autoroute une horde de motards bien sympathiques, mais aussi une voiture plus jaune qu'un poussin avec les jantes brillantes à vous en aveugler.

cooters

Là, on a pas trouvé plus typique !

sh_rif_fais_moi_peur_s_rie12h30 : Nous arrivons enfin à notre destination, le Cooter's Place ! C'est LE musée sur la série The Dukes Of Hazzard, Shérif Fais Moi Peur en version française. Pour ma part, je ne connais que quelques rares épisodes que j'avais vu plus jeune sur la chaîne Coméd!e mais la voiture située devant le musée est immédiatement reconnaissable, la fameuse General Lee tout d'orange vêtue et arborant fièrement sont grand N°01. Le lieu est tenu par une vieille dame et son mari (qui était absent ce jour là). Tous les deux sont d'énormes passionnés et ont collectés tous ce qu'ils pouvaient en rapport avec la série. Des courts shorts en jean de Daisy Duke (qui lui donnera son nom fictif dans la série car ils sont créés à l'occasion de cette dernière) aux voitures de la série en passant par des produits dérivés de toutes sortes entre autres objets issus de la série (le vis du pont qui saute dans je ne sais quel épisode, le sens du détail lol !). D'ailleurs, pour pouvoir visiter les 4 voitures exposées dedans ou dehors, ça coûte 10$ par personnes. Mais en bons français venant de loin, on a sympathisé et surtout bien négocier pour payer une seule fois 10$ et avoir accès à tout. Et la gentille dame nous fera tester le klaxon spécialement pour nous, même chose pour le moteur vrombissant de la General Lee. Pourtant, quand nous sommes arrivés, il n'y avait pas grand monde, mais avec ces démonstrations, une foule commença à s'amasser autour de ce lieu culte. Comme quoi, on a fait une bonne pub finalement ! Donc n'hésitez pas à visiter leur site internet (http://cootersplace.com/) sans oublier de devenir fan de leur page facebook !

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willie dixie

Entre Mamie et Willie, on a passé une bien bonne matinée !

En tout cas, ce fut impressionnant de voir tous ces objets plus insolites les uns que les autres, auriez-vous aimé avoir votre cabane en tissus The Dukes Of Hazzard quand vous étiez petits ? Et en plus de ces objets, il y avait aussi une boutique avec des objets de la série et créés spécialement pour le musée. C'est pourquoi aujourd'hui je porte fièrement mon T-shirt Good Ol' Boys estampillé Cooters Place à Nashville. Avant de partir, nous n'oublierons pas de visiter le bâtiment d'à côté dédié au chanteur country Willie Nelson, mais on se limitera à son general store car le mini-musée était payant. On aura quand même notre photo avec l'icône nationale de la musique country ! Bien, après ce bouillon de culture, il est temps de partir pour l'un des berceaux du rock, Nashville.

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